J'ai perdu et retrouvé moi-même dans la ville que j'aime

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J'ai perdu et retrouvé moi-même dans la ville que j'aime

Table des matières

  1. Introduction
  2. Perdre et trouver moi-même
  3. Un petit village agricole dans le sud du Nouveau Mexique
  4. Naître entre les mains de ma grand-mère
  5. Les trois femmes qui m'ont appris à être un homme
  6. La lutte entre la pensée et le sentiment
  7. Le pouvoir de l'écriture
  8. Le paradoxe de ma vie
  9. La recherche d'un lieu d'appartenance
  10. El Paso - Ma ville bien-aimée
  11. Conclusion

Mon voyage: Perdre et trouver moi-même

Être étranger, c'est se perdre et se retrouver dans une ville que j'aime. Le 16 août 1954, à huit heures du matin, j'ai vécu un événement dans un petit village agricole du sud du Nouveau-Mexique, dont je n'arrive pas à me souvenir, mais que je n'oublierai jamais. Toute cette scène se déroule dans ma tête, un lieu où j'ai inventé, réinventé et même totalement inventé de nombreuses scènes de ma vie. Cela s'est passé chez ma grand-mère, une partera, qui m'a accueilli et guidé avec ses mains chaleureuses et patients dans ce monde. Mon arrivée dans ce monde n'a pas été un travail long et difficile, mais les pluies d'été ont commencé juste avant que ma mère n'accouche. Ma grand-mère maternelle était présente dans la salle, elle m'a pris dans ses bras et son visage a illuminé toute la pièce. Elle m'a remis le nom de son plus jeune fils, Benjamin, le fils bien-aimé du père, le fils de la droite. J'ai vu le jour entouré par la pluie et les trois femmes qui m'ont appris à être un homme, Teresa, Josefina et Eloisa. Même si ces trois femmes sont parties maintenant, leurs voix sont gravées dans mon cœur depuis ma naissance. J'ai toujours su qui j'étais, mais j'ai souvent été un étranger à moi-même, entretenant ainsi un paradoxe qui a défini ma vie.

Un petit village agricole dans le sud du Nouveau Mexique

En grandissant, j'étais le deuxième de cinq enfants, coincé entre deux frères aînés et une sœur aînée, avec une sœur cadette et deux frères plus jeunes. Tout était étroit et je me sentais poussé dans des endroits où je n'appartenais pas. J'étais né avec une étrange faim constante de connaître des choses qui étaient au-delà de ma portée. J'étais déchiré entre le désir de m'intégrer à ce monde bruyant et animé, mon héritage, et celui de vivre dans un monde tranquille que je construisais de mes propres mains. Alors que j'étais entouré d'amour, je ne pouvais pas expliquer pourquoi je me sentais si seul. Je cherchais toujours un chemin qui me mènerait à un endroit où je pourrais enfin me reposer, loin de l'agitation incessante qui allait de ma tête à mon cœur et vice versa. L'abus sexuel que j'ai subi n'a pas aidé, mais j'ai su garder ce secret. Je ne sais pas si garder un secret comme celui-là était une bonne ou une mauvaise chose. Je ne sais pas à quoi aurait ressemblé ma vie si j'avais dit quelque chose. Quand je regarde ce petit garçon, je pense à sa bravoure, à sa peur et à sa confusion. Ce garçon m'a poussé à chercher un monde plus bienveillant que celui dans lequel il vivait. Ce garçon m'a poussé vers les livres, et je ne savais jamais vraiment pourquoi, mais je me suis toujours perdu dans mes propres écrits. Écrire était un lieu où je me sentais chez moi, contrairement à beaucoup d'autres endroits où je me sentais exilé. L'écriture creusait profondément en moi, au-delà de mes peurs, au-delà de toutes les choses qui me faisaient peur, au-delà des questions sans réponse. Je creusais et je creusais comme un archéologue à la recherche des pièces manquantes, de ces mystères et réponses à la vie.

Naître entre les mains de ma grand-mère

La naissance de ma grand-mère partera, qui pratiquait de nombreux arts, a marqué le début de ma vie. Ses mains chaleureuses et patientes m'ont guidé dans la lumière. Ma mère m'a raconté que cela n'a pas été un travail long et difficile, mais que les pluies d'été ont commencé juste avant qu'elle ne donne naissance à moi. Ma grand-mère paternelle était aussi présente dans la pièce ce jour-là. Elle m'a pris dans ses bras et son visage a illuminé toute la pièce. Elle m'a dit : "Mira", son plus jeune fils n'a pas vécu assez longtemps pour fêter son premier anniversaire. Ma grand-mère a alors ressuscité le prénom de son fils et me l'a remis. Benjamin, le fils le plus jeune, le fils de la droite du père, le fils très aimé. Je suis venu dans ce monde entouré de pluie et des trois femmes qui m'ont appris à être un homme, Teresa, Josefina et Eloisa. Ces trois femmes ont disparu maintenant, mais leurs voix sont ancrées dans mon cœur depuis ma naissance. J'ai toujours su qui j'étais, mais j'ai souvent été un étranger à moi-même, et ce paradoxe a défini ma vie. Les personnes qui se connaissent vraiment ne se sentent pas perdues, et pourtant, je me suis toujours senti perdu, comme l'enfant du milieu, coincé entre deux frères aînés et une sœur aînée, avec une sœur cadette et deux frères plus jeunes. Tout était encombré et je me sentais poussé dans des endroits où je ne trouvais pas ma place. Depuis mon plus jeune âge, j'ai toujours eu une étrange faim insatiable de connaître des choses qui étaient hors de ma portée. J'étais tiraillé entre le désir d'appartenir à ce monde bruyant et frénétique, qui faisait partie de mon héritage, et celui de vivre dans un monde calme que je pouvais créer par moi-même. Même si j'étais entouré d'amour, je ne pouvais pas expliquer pourquoi je me sentais si seul. J'ai toujours cherché un chemin qui me conduirait à un endroit où je pourrais enfin me reposer, loin de l'inquiétude chronique qui traversait sans cesse ma tête et mon cœur.

Les trois femmes qui m'ont appris à être un homme

Les trois femmes, Teresa, Josefina et Eloisa, qui étaient présentes à ma naissance, m'ont appris ce que c'était d'aimer. Aimer était plus facile que d'être aimé, et j'ai hérité du désir d'aimer de ces trois femmes qui étaient là lorsque je suis né. Elles étaient féroces et sans censure, elles montraient leur affection sans aucune retenue. En leur présence, je me laissais aimer. Je ne sais pas quel aspect de ma vie a été le plus persuasif dans la façon dont je l'ai vécue, la pensée ou le sentiment. J'ai toujours eu beaucoup de respect pour la vie intellectuelle, conscient du fait que j'étais né avec un bon esprit. La pensée m'a donné de l'ordre, le sentiment m'a apporté du chaos et de l'apocalypse. La pensée m'a fait me sentir supérieur, le sentiment m'a apporté le sentiment que l'humilité avait un rôle important dans ma vie. Le sentiment a rendu ma vie plus difficile, mais avoir un bon esprit a rendu ma vie plus facile et m'a donné le sentiment d'avoir de l'ordre et de la fierté. Cependant, la pensée m'a également rendu un peu moraliste, tandis que le sentiment a exigé que j'apprenne le pardon. Le sentiment m'a aidé à me faire de bons amis, tandis que la pensée m'a aidé à les garder. La pensée m'a rendu prudent, le sentiment m'a rendu intrépide. Avoir un bon cœur a rendu ma vie désordonnée et chaotique, mais un bon cœur est aussi obstiné et ne se laisse pas facilement vaincre. Mon intellect m'a bien servi en tant qu'écrivain, j'ai compris l'importance d'acquérir des connaissances et de comprendre le sens du mot "discipline". Mais c'est mon cœur obstiné qui a fait de moi l'écrivain que je suis devenu.

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